By: citybiz
June 11, 2025
Questions Et Réponses Avec Maxime Trottier, Directeur Des Revenus Chez Devolutions
Maxime Trottier se consacre à stimuler la croissance et à garantir une expérience client exceptionnelle à chaque étape. Chez Devolutions, il dirige des initiatives couvrant les revenus, le support, le marketing produit, la formation et la documentation. Qu'il s'agisse d'aider l'équipe à atteindre des objectifs majeurs, de lancer des idées innovantes ou de rationaliser le parcours utilisateur, Maxime est profondément impliqué dans chaque aspect. Il est également un fervent défenseur de la collaboration, de la communication claire et de rendre la technologie plus accessible et humaine.
Pour ceux qui ne connaissent pas, pouvez-vous commencer par expliquer ce que fait Devolutions ?
Devolutions propose des outils de gestion des accès privilégiés (PAM), de gestion des mots de passe, de gestion des connexions à distance et d'accès à distance puissants mais accessibles — spécialement conçus pour les petites et moyennes entreprises (PME). Alors que la plupart des solutions de niveau entreprise sont trop complexes ou coûteuses pour les PME, Devolutions offre une alternative pratique qui est sécurisée, évolutive et facile à déployer.
Notre mission est simple : aider les équipes informatiques à renforcer la sécurité sans ralentir la productivité. Nous croyons que la cybersécurité devrait permettre aux gens de travailler — pas les gêner. C'est pourquoi nos solutions sont conçues pour aider les PME à contrôler le chaos, réduire les risques et permettre aux équipes d'avancer rapidement, en toute confiance.
Vous venez d'annoncer les résultats de votre enquête mondiale sur la sécurité informatique. Donnez-nous le contexte de cette enquête et du rapport. Depuis combien d'années Devolutions mène-t-elle cette enquête ? Quelle était la motivation pour créer un tel rapport ?
C'est la cinquième édition de notre enquête annuelle sur la cybersécurité. Chaque année, nous recueillons les réponses de professionnels de l'informatique, de responsables de la sécurité et de dirigeants du monde entier pour mieux comprendre comment les PME gèrent les cybermenaces en évolution.
Nous avons lancé cette initiative parce qu'il n'y avait tout simplement pas assez de données axées sur les PME. La plupart des recherches mettent en lumière les tendances au niveau des entreprises — pourtant les PME font face aux mêmes risques, souvent avec moins de ressources. Notre objectif est de découvrir ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas et où les plus grandes lacunes en matière de sécurité subsistent.
Au-delà des données brutes, le rapport fournit six insights clés, une perspective future sur l'orientation de la sécurité des PME et des recommandations pratiques que les équipes peuvent mettre en œuvre immédiatement — quelle que soit leur taille ou leur budget. Il est conçu pour aider les PME à se comparer et à prendre des décisions plus intelligentes et plus rapides.
Parlez-nous des points forts du nouveau rapport. Quels étaient les principaux enseignements ?
Il y a eu six enseignements majeurs de l'enquête de cette année :
- La confiance est élevée — mais la capacité reste à la traîne. 71 % des PME se sentent confiantes dans la gestion d'un incident cyber, mais seulement 22 % déclarent avoir une posture de sécurité avancée.
- Le PAM manuel est encore la norme. 52 % des PME dépendent encore de feuilles de calcul ou de coffres partagés pour l'accès privilégié.
- L'IA suscite de l'intérêt — mais son adoption est lente. Alors que 71 % prévoient d'augmenter l'utilisation de l'IA, 40 % ne l'utilisent pas encore du tout.
- Les budgets augmentent — mais beaucoup investissent encore moins de 5 % des dépenses informatiques dans la sécurité.
- Les menaces internes sont largement reconnues mais rarement traitées. Seulement 20 % ont un plan formel en place.
- La formation reste incohérente. Seulement 39 % offrent une formation continue, tandis que 17 % n'en offrent aucune.
Ces insights pointent vers un thème plus large : les PME sont conscientes des risques — mais beaucoup n'ont pas encore opérationnalisé cette conscience.
Y a-t-il eu quelque chose qui vous a surpris dans les résultats ? Si oui, quoi ?
Oui — quelques choses ont vraiment marqué. L'une des plus grandes surprises a été de voir combien de PME gèrent encore l'accès privilégié manuellement. Malgré toute la sensibilisation autour des ransomwares et des menaces internes, 52 % des répondants dépendent encore de feuilles de calcul ou de coffres partagés pour gérer les identifiants sensibles. Ce n'est pas seulement un écart en matière d'outils — c'est un écart en matière de visibilité et de responsabilité. Cela signifie que lorsque l'accès doit être révoqué ou audité, trop d'équipes dépendent encore de suppositions ou de processus obsolètes.
Un autre écart majeur concernait les menaces internes. 78 % des PME ont déclaré être préoccupées, mais seulement 20 % ont une stratégie formelle pour les traiter. C'est un énorme décalage — et franchement, une opportunité manquée. Les menaces internes ne sont pas hypothétiques. Elles se produisent à travers une mauvaise sortie, l'IT fantôme et des erreurs quotidiennes — pas seulement des acteurs malveillants.
Ce que ces chiffres mettent vraiment en évidence, c'est un thème plus large que nous avons vu tout au long de l'enquête : la conscience augmente, mais la maturité opérationnelle ne suit pas assez vite. Les équipes savent où sont les problèmes, mais trop souvent elles n'ont pas les outils, le temps ou le soutien pour les résoudre.
Est-ce que certaines des informations glanées dans le rapport ont un impact sur les offres de produits / services de Devolutions ? Si oui, comment ?
Absolument. L'enquête ne fait pas que confirmer les points douloureux que nous entendons de notre communauté — elle façonne également notre feuille de route produit. Elle nous aide à rester alignés sur ce dont les PME ont réellement besoin, pas sur ce que le monde des entreprises suppose qu'elles ont besoin.
Par exemple, le fait que 52 % des répondants gèrent encore l'accès privilégié manuellement renforce notre concentration sur le rendu de notre solution PAM encore plus facile à adopter et à évoluer, surtout pour les petites équipes avec des ressources limitées. Cela signifie une intégration plus rapide, une configuration de politique plus simple et des contrôles d'accès basés sur les rôles plus intuitifs — le tout sans sacrifier la sécurité.
Nous avons également reçu des retours forts sur les lacunes en matière d'IA et de formation, ce qui est directement lié à la façon dont nous faisons évoluer Devolutions Academy. Plus de clients demandent un apprentissage flexible et spécifique au rôle — pas seulement des guides techniques, mais du contenu qui aide les utilisateurs à comprendre le pourquoi derrière les décisions de sécurité. C'est là que nous nous dirigeons.
Et à un niveau plus large, l'enquête continue de valider notre mission : la cybersécurité devrait être construite autour des PME — pas adaptée pour elles. Ces conclusions nous donnent l'aperçu nécessaire pour continuer à construire des produits qui sont pratiques, abordables et puissants, sans ajouter de complexité que les PME ne peuvent pas gérer.
Avez-vous déjà reçu des réactions de la part des premiers destinataires du rapport ? Y a-t-il eu quelque chose qui les a surpris ?
Oui, nous avons déjà eu une grande participation. Une chose qui a marqué de nombreux lecteurs était à quel point certaines pratiques manuelles sont encore répandues — surtout autour du PAM et de la formation. Beaucoup de professionnels de l'informatique pensaient que c'étaient des cas isolés, mais les données ont montré que ces défis sont la norme, pas l'exception.
Pour beaucoup, le rapport a été une source de clarté — non seulement en mettant en évidence les lacunes, mais en fournissant des conseils clairs sur où s'améliorer. Il a aidé les équipes à reformuler leurs prochaines étapes, sachant qu'elles ne sont pas seules, et que des solutions conçues pour les PME — comme celles que nous offrons — sont disponibles pour les aider à renforcer leur posture sans ajouter de complexité.
C'est exactement ce que nous espérions que le rapport ferait : susciter des progrès, pas la panique.
Devolutions a récemment été nommé Champion 2025 dans le rapport Emotional Footprint d'Info-Tech pour le PAM. Dites-nous un peu plus ce que cela signifie.
Être nommé Champion 2025 dans le rapport Emotional Footprint d'Info-Tech pour le PAM est un immense honneur — surtout parce qu'il est basé entièrement sur les retours d'utilisateurs réels. Pour nous, c'est une validation de tout ce vers quoi nous avons travaillé : combler le fossé entre une sécurité forte et une utilisabilité quotidienne pour les PME.
Avouons-le — la plupart des solutions PAM sont conçues pour les grandes entreprises. Elles sont complexes, coûteuses et souvent hors de portée des petites équipes. Chez Devolutions, nous avons choisi un chemin différent. Nous avons écouté les PME, compris leurs points douloureux et nous nous sommes concentrés sur la construction de solutions qui sont puissantes, mais aussi accessibles, économiques et faciles à déployer.
Cette reconnaissance signifie beaucoup parce qu'elle confirme que vous n'avez pas à sacrifier la simplicité pour obtenir une sécurité sérieuse. Les PME utilisent non seulement nos produits — elles sont véritablement satisfaites de l'expérience, du support et des résultats.
Alors oui, nous sommes fiers — mais plus important encore, c'est un signe que le PAM accessible pour les PME n'est pas juste un concept. Ça marche. Et nous ne faisons que commencer.
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